En Bourgogne – Le repas des vendanges

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2  . En Bourgogne – Le repas des vendanges

Cliché Ismaël sens

Dos séparé -circulé sous enveloppe

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Je trouve cette carte particulièrement belle , et vous !

Au verso la correspondance est intéressante et témoigne d’une grande amitié entre deux camarades d’une même ville séparé par leur travail.

J’aime aussi cette façon de l’époque de terminer la correspondance avec un ami en écrivant.

« Cordiale et ferme poignée de main « , ton ami

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Charny – le Bureau de Postes

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93  –  Charny (yonne)  – le Bureau de Postes

Morlot , à Charny

dos séparé – circulé sous enveloppe

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Bien sympathique carte pour qui ,comme moi connait bien cette petite ville de l’yonne située à 27 kilomètres de joigny et 150 kilomètres de Paris  .

En 1911 le maire est monsieur Roché accompagné de son juge de paix monsieur Trouillet .

la ville à cette époque ne manque de rien ,boulangeries ,épiceries ,médecins ,banque , poste , huissier, notaires , artisans de toutes sortes et bien entendus cafés ,restaurants , buvettes donne vie à cette agréable commune .

Un peu plus loin sur le trottoir de gauche on peut encore déjeuner au restaurant hôtel  le Cheval Blanc ,en 1911 les propriétaires était la famille Vial.

Tout au loin on aperçoit la porte d’entrée du café pmu restaurant ,ou je vais de temps en temps  dépenser quelques  billets en espérant gagner au quinté.

il est certain que j’aurais préféré  vivre dans cette ville à la belle époque , mais en 2010 la ville est encore sympa .

Mais pour combien de temps !!!





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l’isle sur serein – entrée du pays par la route d’Avallon

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l’isle sur serein – entrée du pays par la route d’Avallon

Pothain ,libraire -éditeur Avallon

dos séparé – circulé à découvert en 1907

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Voitures à volonté à l’hôtel de l’étoile !

Comme toujours le photographe est le maitre du temps pendant quelques minutes .

l’homme en vélo attend tranquillement le pied sur le trottoir et l’attelage reste immobile !

Même au loin les habitants regarde cette scène du photographe arrêtant le temps !!

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Villeneuve-l’Archevêque ( yonne ) Rue Gambetta

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Villeneuve-l’Archevèque ( yonne ) Rue Gambetta

André , photo ,éditeur

Dos séparé -circulé à découvert en 1920

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Belle animation sur cette carte de  la commune de Villeneuve-l’Archevêque .

les Villeneuviens prennent la pose pour être immortalisés sur une carte postale .

Regardez bien le curieux fagot de branches accroché à la potence à droite sur la carte , à votre avis a quoi pouvait-il bien servir !!

Cette question avait été posée sur le site cparama et la réponse est arrivée 160 jours plus tard .

Voici le texte qui explique tout sur ce qu’on appelle « le bouchon »

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Une ordonnance royale. Historiquement, le « bouchon » dont l’appellation provient du vieux français « bousche » (petite botte, petite gerbe) est le nom donné généralement au branchage que tout débiteur de boisson se devait de mettre à la façade de sa maison. Dès le XIVe siècle, nous trouvons trace de cette obligation. En 1680, une ordonnance royale dicte encore plus clairement à tout vendeur de vin « à huis coupé et pot renversé » : « Nul ne pourra tenir taverne sans faire déclaration, ni mettre bouchon. » Le bouchon ne serait donc que l’ancêtre de l’actuel droit de licence de nos débits de boisson instauré en 1816.

Dans de nombreux villages, la pose du bouchon avait lieu la veille de la fête du pays. Les « jeunes gens » (groupe d’âge pouvant aller des conscrits à tous les hommes non mariés) allaient déposer l’ancien « bouchon » (le brûlant parfois) et suspendre le nouveau de café en café, en échange de quoi le patron de chaque établissement se devait de l’arroser. Les bouteilles vides étaient alors accrochées au « bouchon ».

Du genévrier ou du sapin. Le bouchon devait être choisi dans une essence d’arbre à feuillage persistant. Dans notre région, c’était généralement le genévrier qui faisait les frais de cette tradition, et parfois le sapin. L’arbuste ou la branche était alors décoré de rubans de couleurs (dits « fleurets ») et accroché indifféremment cime en l’air ou en bas. Un inventaire réalisé à partir des cartes postales anciennes a permis de dénombrer 183 communes différentes dont les cafés, au début du XXe siècle apparaissent ornés d’un « bouchon ». Cela représente plus de 52 % des 349 communes que comptait alors le Loiret.

Ces communes à bouchon se situaient essentiellement en Beauce, Gâtinais occidental, Orléanais et Puisaye. Dans ces secteurs, la coutume a perduré encore assez longtemps. En 1962, Jean Driard déclare à propos du Gâtinais de l’Ouest : « On voit également dans ma contrée le bouchon de genévrier au-dessus de la porte des petits cafés de village, mais cela tend à se perdre ». On en trouve cependant encore trace, dans les années 1970, dans une dizaine de communes. Aujourd’hui rares sont celles, à l’exemple de Charmont-en-Beauce, Guignonville ou Gondreville-la-Franche, à maintenir la tradition.


 (texte pris sur le site "Loiret.com")


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Pougues Les Eaux – Route de Paris

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Pougues Les Eaux – Route de Paris

J.L, éditeur ,à Pougues- les-Eaux

Dos séparé – circulé à découvert en 1905

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Le petit mot sur la carte est amusant

« Jamais je n’ai vu autant d’automobile que sur cette route ,meilleurs souvenirs »

Il faut dire qu’en 1905 la France compte environ  21. 000 voitures en circulation pour un peu plus de 30 millions aujourd’hui.

Pour se rendre compte encore mieux du trafic de cette année 1905 , le  département de la Seine possède le plus grand nombre de véhicules de France  avec un chiffre d’environ 4500 automobiles.

Les années passent et l’automobile est de plus en plus à la mode, en 5 ans donc en 1910 ,le chiffre des automobiles en circulation doublera pour atteindre le chiffre d’un peu plus de 50.000 véhicules.

Aujourd’hui on fait des conférences sur les pets des vaches et l’émission de gaz à effets de serre, la solution est de réduire les cheptels bovins.

Mais je me pose la question combien de vaches pourront encore regarder le milliard de véhicules prévus d’ici 2020 !!

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