Carte postale Ancienne de Chevillon – Entrée – Route de Joigny

Chevillon – Entrée – Route de Joigny – Collection Geste, Tabac

Le photographe a posé quasiment son trépied sur la terrasse de ce qui a été pendant longtemps l’hôtel-restaurant de la Gniasse.

Je me rappelle très bien du patron, un homme d’assez forte corpulence et des bons petits plats traditionnels qu’il préparait et que l’on dégustait dans la salle arrière du café.

Mais revenons à la belle époque avec cette carte postale datant des années 1910. À cette époque, le maire est M. Paitard et les Chevillonnais sont au nombre de 483. 

Pour changer un peu des années de la belle époque et des années folles, citons quelques noms des années 1940 et commençons par M. Bertrant l’aubergiste, M. Maure le boucher, M.M Foulon et Mérel les boulangers, M. Moutarde le charron, M. Fougére le Bourrelier, M. Robin le cordonnier, M. Quenaudon l’épicier et terminons avec M. Michaud le bureau de tabac.

À bientôt avec d’autres cartes postales
Pascal

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Marchais-Beton par Charny – La place d’Hier à Aujourd’hui

Marchais beton par Charny – La place

Marchais Beton par Charny – La place d’Hier à Aujourd’hui

Marchais-Beton par Charny – La place – Imprimerie Ruet, Châtillon Coligny .
Continuons notre balade dans le passé en parcourant nos communes de Charny-Orée-de-Puisaye .
Qu’il semble bon de vivre à la belle époque dans cette petite ville administrée par le maire M. Maison (Ch). À cette époque, les Marchaisiens et Marchaisiennes sont au nombre de 272 habitants. Citons quelques noms de commerçants en 1910 et commençons par les épiciers M. Béguine (Th) et M. Léger sans oublier les petits métiers comme les maréchaux-ferrants M. Béguine Fils et M. Verpy. N’oublions pas la briqueterie tuilerie de M. Deslin, qui fera l’objet avec une autre carte postale d’une belle histoire commerciale et d’amour.
Mais revenons à un fait divers qui avait bouleversé Marchais-Beton dans les années 1900. En allant chercher de l’herbe pour les bêtes, Mme Marie-Françoise Boulet, veuve Simon, âgée de soixante-dix-sept ans, sans profession, demeurant à Marchais Beton, est tombée accidentellement dans un ruisseau dit de la Pense-Folie, et c’est malheureusement noyée. M. François Delapierre, cultivateur au hameau de Chambeugle, passant quelques instants après aperçut Mme Boulet et prévint aussitôt le maire de Marchais-Beton. Ce triste accident de plus de cent ans, nous rappelle qu’il n’est jamais trop prudent de se promener ou de travailler seul.. !
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DICY – Entrée du Pays – Route de Villefranche d’hier à Aujourd’hui

DICY – Entrée du Pays Route de Villefranche – Allons faire un petit tour à Dicy pour voir les premières maisons en arrivant de Villefranche. Dicy en 1900, est déjà une petite ville tranquille comptant pas moins de 466 habitants administrés par M. Déniot. Les petits commerces et les petits métiers ne manquent pas à cette époque. M. Divert, M. Meunier et Mme veuve Michot tiennent les épiceries. Bien sûr dans ces années-là, les sabots sont encore très utiles aussi bien pour travailler dans les champs que pour aller faire des courses en ville et rien qu’à Dicy trois sabotiers se partagent le travail, M. Chotard, M. Fèvre et M. Giroux. Gardons les noms des autres commerces et petits métiers pour d’autres cartes postales de Dicy. Quand j’écris que Dicy était une ville bien tranquille, il ne faudrait pas croire  cependant que rien ne se passait de grave de temps à autres, comme cette tentative Continuer la lecture

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Malicorne – Malicorne – La rue principale – Montage photo

Malicorne – La rue principale – Montage photo

Malicorne – La rue principale – édition Artistic – Un petit montage photo de la rue principale de Malicorne t’elle que l’on pouvait encore la voir dans les années 1930. Sur chaque volet le propriétaire a fixé une plaque publicitaire en tôle de la maison Byrrh, pour les plus jeunes cette boisson est un vin additionné de mistelle et aromatisé essentiellement à la quinine, ces plaques, aujourd’hui, se vendent à prix d’or. Un petit mot sur Malicorne en 1910, la ville compte 408 habitants administrés par le maire M. Pajot. Le jour de foire se déroule le jeudi de la pentecôte et les fêtes patronales le 3 février et le premier dimanche de Juin. A noter le château de Hautefeuille appartenant à la famille Séguier et le château de Lordereau à M. Hartmann (Ch). Citons deux agriculteurs de cette époque M. Connet et M. Horry. Un texte de ces années 1910 et plus précisément en 1913 écrit par M. Montreuil épicier à Malicorne montre déjà que tout n’est pas rose pour les petits commerçants. « Qu’il me soit permis d’exposer une idée que nous devrions tous, petits commerçants, mettre à exécution : ce serait notre union et celle de nos fournisseurs, qui nous défendraient quand nous serions surchargés d’impôts (pour ma part, 30 francs en plus pour 1913). Un bon mouvement des négociants de gros du département et nous arriverions à l’énergie et à la défense. Je crois pouvoir compter sur ma clientèle malgré les docks ou magasins similaires m’entourant, mais combien d’autres qui, ne voyageant pas, céderont forcément au bénéfice de maisons fondées avec de gros capitaux et qui, à bien prendre, vendent au même prix ce qui n’est pas meilleur. Avec ma devise : « Bien servir et laisser dire », nous pourrions soutenir la concurrence par la bonne qualité surtout, car les primes, article trompe-l’œil  – sont appelées à disparaître. Nous gagnerions notre pain quotidien et nous servirions bien le client ». L’avenir lui donnera raison,  à bientôt, avec d’autres cartes de toutes les communes de Charny-Orée-de-Puisaye.

Pascal – Bastille91

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Charny rue des Ponts à la belle époque

Charny rue des Ponts

Charny rue des Ponts . Un petit tour rue des Ponts, devant l’armurier et le débit de tabac marchand de journaux. En 1900, Charny compte pas moins de 1494 habitants administrés par le maire M. Duval. Le juge de paix M. Trouillet, avait était nommé après un vote et avait comme première mission de régler les litiges de la vie quotidienne des administrés par une démarche simple et la plus conciliatrice possible. À cette époque, la ville compte deux armuriers, M. Bethery et M. Lepine en ce qui concerne les débits de tabac leur nombre était aussi de deux avec la maison de M. Morlot et de M. Tonlouse. Citons, aujourd’hui quelques noms de cette époque qui ont fait vivre Charny et commençons par les petits métiers comme M. Duport, le bourrelier ; M. Arnault, le sabotier et M. Bernet le Ferblantier. Les petits commerçants et petits métiers à la « belle époque » ne manquent pas à Charny et je citerai d’autres noms avec d’autres cartes postales. Allez, je ne peux pas m’empêcher en voyant les beaux habits des deux enfants de donner le nom de Mme Bastille et de Mme Louise toutes les deux propriétaires de leur magasin de mode et lingerie. À bientôt, si vous le souhaitez avec d’autres cartes de Charny et des 14 autres communes de la communauté de communes de l’Orée de Puisaye. 

 

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