La Gare CBR de Guignicourt à Rethel en 1900

La gare de Guignicourt à Rethel

La gare de Guignicourt à Rethel – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

La Gare de Guignicourt à Rethel 
A. Levasseur, phot – édit, Vaux-sous-Laon   – Blavier, dépositaire 
Dos séparé – circulé à découvert le 3 octobre 1904 
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Petit clin d’oeil à un collectionneur de cette région de l’Aisne, avec cette carte qui sera certainement très appréciée des collectionneurs de gares CBR et de la ville de Guignicourt. En 1900 Guignicourt compte 581 habitants administrés par le maire Mr de Nazelle. Située à 35 kilomètres de Laon et 178 km de Paris, Guignicourt à cette époque a la chance d’avoir une gare CBR ( Chemin de fer de la banlieue de Reims), cette ligne CBR desservait 180 communes sur 400 kilomètres de voies permettant ainsi aux villageois de se déplacer facilement dans la région. Les années 1930 voient les premières suppressions de ces petites gares qui seront remplacées par des arrêts d’autocar. l’arrivée en grand nombre des cars, bus et automobiles donnera le coup de grâce à ces petites gares et la fin dans les années 1950 de cette ligne CBR. À noter quand 1900 le château de Guignicourt est la propriété au Marquis Henri Erhard du Cauzé de Nazelle.  

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Carte Postale de Rosières-en-Picardie – La Fabrique

Rosieres-en-Picardie-La Fabrique

Rosieres-en-Picardie – La Fabrique

Rosières-en-Picardie – La Fabrique
Rohaut, éditeur
Dos séparé – circulé sous enveloppe en 1914
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Cette carte postale est assez peu courante et très appréciée des collectionneurs de cette région de Picardie. Rosières-en-Santerre ou Rosières de Picardie, comme il est écrit sur les bottins en 1910 est située à 23 kilomètres de Montdidier et 139 km de Paris. À cette époque Rosières compte 2399 habitants administrés par le maire Monsieur Thiebaud (J.), son juge de paix est Mr Caron. Difficile de dire (pour moi) avec certitude si ce cliché nous montre la fabrique de briques Brillard ou celle de Fournier-Roussel, ou encore celle de Galland Ernest (spécialiste des gilets et fabrication de torchons d’essuyage cellulaires) ou celle de la sucrerie Blériot et Cie. Que les spécialistes de cette ville de Rosières-en-Santerre ne se gênent surtout pas pour me laisser un commentaire s’ils ont la réponse. Bien sur comme beaucoup de villes de cette région Rosières ne sera pas épargnée par la Grande guerre, et dès octobre 1914 la ville sera bombardée par les lignes Allemandes, les premières cibles seront justement les usines et par conséquent de la proximité du village, une quarantaine de maisons seront détruites. 

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Montreuil Sur Mer – Porcelaines – Verreries – Articles d’Eclairage – Rouillon-Damour

Montreuil-sur-mer-Porcelaines-Verreries-Rouillon-Damour

Montreuil Sur Mer – Porcelaines – Verreries – Articles d’Eclairage – Rouillon-Damour

Magasin –  Rouillon-Damour  –  2 Grande Place – Montreuil-Sur-Mer  
Porcelaines – Verreries – Articles d’Eclairage 
Dos séparé – circulé à découvert en 1914
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Voici une belle carte postale que les collectionneurs de Montreuil-sur-Mer doivent connaitre et apprécier. Le magasin Rouillon / Damour a sorti sa belle vaisselle pour que le photographe immortalise ce cliché qui 100 ans après me pose un petit problème de localisation. Bien sûr la grande place de Montreuil-sur-Mer existe toujours et s’appelle maintenant place du théâtre et place du Général De Gaulle, mais impossible de localiser le numéro 2. Il existe bien un N°2 place du Théâtre, mais rien de ressemblant avec la façade de cette carte postale. Il est évident qu’en 100 ans l’immeuble a pu être démoli et reconstruit, ou alors je me trompe d’endroit pour cette recherche. Si vous connaissez cette boutique ou si vous avez la moindre idée de ce qu’elle est devenue, merci de me laisser un commentaire.

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Nogent sur Oise – Souvenir des soldats du GVC de 1914-1915

Nogent sur Oise - Souvenir des soldats du GVC de 1914-1915

Nogent sur Oise – Souvenir des soldats du GVC de 1914-1915 – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Carte Photo : Nogent sur Oise – Souvenir du GVC – 1914-1915 1914 :
Dos séparé – circulé sous enveloppe le 10 Mars 1915 
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A la mobilisation générale d’août 1914 le service de garde des voies de communication se met en place selon les plans d’organisation prévus, ses effectifs sont considérables : plus de 200.000 hommes pour tout le pays, soit plusieurs milliers d’hommes par région militaire.

Lors de la bataille des frontières les postes de GVC situés dans la zone de progression maximale des troupes allemandes sont pris dans la tourmente des combats et enregistrent des pertes, jusqu’au recul des allemands lors de la bataille de la Marne et la fixation du front dans les tranchées après la phase dite de « course à la mer ».
Dans cette première période de la guerre, les postes de GVC sont en alerte maximale dans tout le pays, par crainte à la fois de sabotages à l’arrière du front, que d’infiltration de commandos ennemis venus du front, l’un de ces commandos du génie allemand, chargé de détruire des ponts de chemin de fer, progressant de nuit en voitures, est Continuer la lecture

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Carte postale ancienne – Soissons – l’Avenue de la gare et son train à vapeur

Carte postale ancienne-Soissons-Avenue de la gare

Soissons – Avenue de la gare

Soissons – Avenue de la Gare
Berth, édit, Soissons 
dos séparé – non circulé 
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Gros plan sur le train à vapeur arrivant place de la gare de Soissons. Dans les années 1910 Soissons est déjà une grande ville de plus de 14000 habitants administrée par le maire Mr Becker. Très ancienne ville située dans un vallon agréable et fertile, sur la rive gauche de l’Aisne, à 32 kilomètres de Laon et à 105 kilomètres de Paris. Soissons en 1910 est un grand centre de commerce de blé pour l’approvisionnement de Paris. Soissons est aussi à cette époque une ville ayant de nombreuses fabriques d’instruments aratoires, de pétrins mécaniques, fonderies de seconde fusion, sucreries, distillerie, Verrerie, sans compter son commerce d’industrie du bois et son grand jardin botanique. A noter les 4 châteaux à cette époque; Chevreux appartenant à la comtesse de Sieyès, Maupas appartenant à Jodon de Villeroché; St Crépin appartenant à (Vve) Pincherat et le château de Ste Geneviève appartenant à Mr Guillemot (G).     

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