Dunkerque – Le Travail au Port – Bois de Mines

Dunkerque-le-travail-au-port-Bois-de-Mines

Dunkerque-le-travail-au-port-Bois-de-Mines – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Dunkerque – Le Travail au Port – Bois de Mines
édition Cayez 1905 
Dos séparé – circulé à découvert en 1906
§

A la fin du XIXème siècle, avec l’ancrage du chemin de fer, Dunkerque développe son rôle d’entrepôt et devient le 3ème port de France. Une huilerie s’installe, faisant progresser l’importation d’oléagineux, puis une scierie mécanique. Mais le grand pourvoyeur de travail sera l’industrie du jute qui emploiera jusqu’à 5 000 salariés en 1914. En 1898, les Ateliers et Chantiers de France sont fondés à Dunkerque. D’autres sociétés viendront enrichir le tissu industriel local, favorisant le trafic portuaire : Usine de Borax en 1900, l’usine Lesieur en 1908, l’usine des Dunes en 1912. A l’automne 1914, les Allemands sont bloqués par les troupes Continuer la lecture

Share Button

Verrerie de Vauxrot – Le Petit Four

Verrerie-de-Vauxrot-Le-Petit-Four

Verrerie-de-Vauxrot-Le-Petit-Four – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Verrerie de Vauxrot – Le Petit Four
éditeur G. Laguerre, Soissons
Dos séparé – circulé à découvert en 1906
§

 

Vauxrot en 1900 est une petite commune de Cuffies située à 2 kilomètres de Soissons. Le maire de Cuffies à cette époque est Mr Deviolaine et le nombre d’habitants est de 1500. À Vauxrot, le distillateur est Mr Beauchamps et la verrerie à bouteilles est la propriété de Mr Deviolaine. À noter que la famille Deviolaine est aussi propriétaire du château Bleu et du château Saint-Norbert   

Share Button

Denain – Groupe de Cafus

Denain-Groupe-de-Cafus

Denain-Groupe-de-Cafus – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Denain – Groupe de Cafus
E Cambay Editeur, Denain 
Dos simple – circulé à découvert en 1904 
§

Après l’interdiction législative les femmes ne descendent plus au fond de la mine, mais leur sort n’est guère moins pénible. Elles sont pour la plupart occupées pour divers travaux dont celui de trieuses. On les appelle Cafus, Mahous selon l’endroit et les mines . Ces noms viennent de l’étoffe qui entourait leur coiffe. Cette étoffe était destinée à protéger des poussières et à maintenir la coiffure. Le travail était tellement poussiéreux que les trieuses ressortaient aussi noires que les mineurs de fond. Les mineurs les surnommaient  » les culs à gaillettes. Elles étaient sous la responsabilité d’un porion au jour qui ne les ménageait pas… Les trieuses où Cafus disparurent des carreaux miniers avec la création des criblages-lavoirs automatisés.
A lire la suite sur ce site très intéressant et très bien fait:  Mineurs de Fond  

Share Button

Bois – Vidame – Table du Michoui du 17 Septembre 1911

Bois-Vidame-table-du-Michoui-du-17-septembre-1911

Bois – Vidame – Table du Michoui du 17 Septembre 1911 – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Bois – Vidame – Table du Michoui du 17 Septembre 1911
Dos séparé – Non circulé 
§
Allons faire un petit tour dans l’Oise et plus précisément dans le bois Vidame. Si je ne me trompe pas nous sommes exactement sur la commune de Catheux dans le bois Vidame à 3 kilomètres de Fontaine Bonneleau et de Choqueuse-les-bénards et à 4 km de Lavacquerie. C’est dimanche, et nos joyeux fêtards ont sorti les tables et les chaises pour manger le méchoui, le vin blanc et rouge est bien sur au programme du jour comme bien souvent à cette époque.   
Share Button

Nouvelle Série des Mineurs – Le Triage du Charbon – The Coal-The mine – The Sorting Of the Coal

Mineurs-Le-triage-du-Charbon

Nouvelle Série des Mineurs – Le Triage du Charbon – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Nouvelle Série des Mineurs – Le Triage du Charbon
éditeur Alexandre à Lens 
dos séparé – circulé le 23 février 1918
§

Restons dans le Nord avec cette carte postale qui nous montre que la Belle Époque n’était pas toujours facile pour les femmes. On imagine la dureté de ce travail rien quand regardant de prés les visages de ces trieuses de charbon. Le charbon était culbuté dans des bacs avec cribles toujours en mouvement. Les trieuses placées auprès de ces bacs enlevaient les pierres au passage.

Share Button