Les Abattoirs de la Villette – La Criée
dos séparé – circulé à découvert en 1905
§
Avant d’être passées à la criée toutes les viandes étaient pesées. Chaque lot pesé était revêtu d’une étiquette détachée d’un livre à souche tenu par le préposé. Un receveur nommé aussi par la ville était chargé du recouvrement des droits. La viande vendue à la criée étant considérée comme vendue en entrepôt et devait acquitter à la sortie de l’abattoir un droit de 0,12 centimes par kilogramme à l’octroi. Des ouvriers appartenant aux courtiers étaient chargés de livrer aux bouchers les lots de viande qu’ils avait achetés. Ce travail etait rétribué à raison de 0,10 centimes par lot.