Jour de Yom Kippour 2013 – Carte Postale Ancienne – Femme Juive en 1900

 

carte-postale-ancienne-Yom-Kippour-femme-Juive.

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 339 Juive 
F.Soler, Phot- éditeur, Tunis 
dos simple – circulé à découvert en 1902 
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Ce soir à partir de 19h50 c’est Yom Kippour, aussi appelé le Jour du Grand Pardon.
C’est l’occasion de faire un bon repas en famille (couscous et pommes de terre farcies), avant un jour de jeûne. On considère cette fête comme le jour le plus saint de toute l’année juive. C’est le jour marquant la fin de la période de pénitence suivant le jour de Roch Hachana.

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Abattoirs de la Villette – Le Comptage des peaux

Abattoirs de la villette -comtage des peaux

Abattoirs de la Villette -comptage des peaux

F.B   349    Paris  –  Abattoirs de la Villette – comptage des peaux
éditeur F.B
Dos séparé – non circulé
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On récupère et on compte les peaux aux abattoirs de la Villette, les peaux seront ensuite salées ou séchées pour être conservées, trempées, tannées et passeront ensuite par le refendage et le dérayage pour ensuite repasser par un re-tannage et la teinture.   

 


 

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Carte postale des Abattoirs de la Villette – égorgement du veau

Abattoirs-de-la-villette-égorgement-du-veau

Abattoirs-de-la-villette-égorgement-du-veau

Abattoirs de la Villette – égorgement du veau
éditeur F.B
Dos séparé – non circulé
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Âmes sensibles, s’abstenir de regarder cette carte postale.!
La grande histoire des abattoirs de la Villette commence en 1859 quand il est décidé de construire des abattoirs et un marché à bestiaux et se termine dans les années 1970.

Quelques détails sur les abattoirs de la Villette, le plus important en 1900 avec 180 échaudoirs, 324 bouchers et 24 charcutiers.
Des étables contenants 2947 bœufs, 1500 veaux, 9725 moutons. Les lendemains de marché « Mardi et Vendredi », sont les jours de grandes tueries.
On abat en hiver par jour, 1200 bœufs, 800 moutons et 500 veaux. Par an en gros bétail, 252000 têtes, 205000 veaux, moutons et Chèvres 1676000 et 23000 porcs.
Les viandes sorties en Boucheries représentent 126 millions de Kilos par an et 16 millions de Kilos en charcuterie.

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Paris – Abattoirs de la Villette en 1900 – Grattage des Moutons

Abattoirs de la Villette-grattage des moutons

Abattoirs de la Villette-grattage des moutons

Paris – Abattoirs de la Villette – Grattage des moutons
éditeur F.B
Dos séparé – non circulé
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En 1906, on compte en France 912 abattoirs. Dans un important volume qu’il vient de consacrer à la question, Monsieur de Loverdo, ingénieur sanitaire, s’exprime ainsi sur leur compte : « On ne saurait mieux les comparer, à quelques exceptions près, qu’à ces anciennes maisons des quartiers du centre de Paris, aux appartements bas et sombres, aux pièces à alcôves fermées, aux cabinets d’aisances sans jour ni air, aux escaliers obscurs et gluants, aux cours humides et infectes » Le plus considérable de tous par son étendue, celui de la Villette n’est pas le moins critiquable. L’an passé, le docteur Moreau montrait avec force tous les inconvénients qu’il présente.

Chose curieuse : il y a cent ans, la situation était meilleure que maintenant. 

Les premiers abattoirs français, construits de 1780 à 1812 à Rochefort, Blois, Grenoble, Orléans valaient mieux que ceux d’aujourd’hui. Dans leurs lignes

générales, ils se rapprochaient davantage des modernes d’Allemagne, 

qui peuvent passer pour des modèles, que de ceux qu’on a bâtis chez nous au dix-neuvième siècle. Continuer la lecture

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La boutique du marchand de Cheveux dans le Morbihan

La boutique du marchand de Cheveux-Morbihan

La boutique de marchand de Cheveux-Morbihan

2639  –  La Boutique de marchand de Cheveux (Morbihan)
Scène de Foire – Collection E Hamonic,  SB 
dos séparé – non circulé
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Ce sont les paysannes qui donnent leurs cheveux pour l’enjolivement des dames riches. C’est parmi les classes pauvres, ignorantes souvent de leurs magnifiques parures naturelles, qu’on doit aller chercher ces trésors soyeux aux quatre coins de la France. La cérémonie se passe les jours de grandes fêtes et jours de foire, c’est par la coquetterie que le marchand de cheveux attire les passantes et les convainc de lui vendre leurs cheveux. C’est rarement une somme d’argent qu’il leur offre en échange, mais quelque menu ornement de toilette, un fichu en toile, un bonnet neuf et léger. Les paysannes hésitent, tentées, incertaines, timides. Le marchand est tellement engageant; il parle si bien et sur tout il parle si haut, qu’une des écouteuses s’avance, se décide. Elfe choisit parmi les colifichets qui l’attirent et l’émerveillent, puis défait sa coiffe, laisse ses cheveux se dérouler sur ses épaules. Les paquets de cheveux s’entassent dans le sac de l’acheteur de chevelures, le lendemain il fera une autre localité proche, et ainsi de suite, tant que durera la saison de cette moisson d’un nouveau genre.
Et elle se fait de mai à juin et de septembre à novembre six mois avec un mois d’interruption pour la vraie moisson en Vendée, en Bretagne, en Normandie, en Limousin, en Auvergne et dans les Pyrénées. Ce n’est toutefois pas sans de multiples apprêts, on le devine, que les cheveux passent de la tête de leurs propriétaires à celle des poupées de cire et des perruquiers.

Le petit Parisien de 1900

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