Les Vins de Touraine – Bel-Air – Neuillé-le-Lierre – les Vendangeurs quittant la vigne

Les vins de Touraine-Bel-air-Neuillé - vendangeurs quittant la vigne

Les vins de Touraine-Bel-Air – Neuillé-le-Lierre –  les Vendangeurs quittant la vigne – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Les Vins de Touraine –
100 –  Bel-Air – Neuillé-le-Lierre –  Vendangeurs quittant la vigne
éditeur ND Phot 
dos séparé – non circulé
Au verso une publicité en lettre d’imprimerie rouge rouge
 Offert par Javel Cotelle-Croix et lessive la Croix en vente dans toutes les bonnes maisons 
§

C’est le temps des vendanges et les femmes de Neuillé-le-Lierre sont comme tous les ans au rendez-vous dans les vignes pour couper les grappes de raisins.
Située au nord-est de la Touraine à 27 kilomètres de Tours dans le département de l’Indre et Loir, Neuillé-le-Lierre en 1910 est un village de 530 Noviliaciens et Novilaciennes administrés par le maire de l’époque Monsieur René Chauveau.
Le pain en 1910 à Neuillé-le-Lierre sort de la boulangerie de Monsieur Millet, le boucher est Monsieur Fillet (P), les épiceries sont les maisons, Chéreau, Johais et Lambert. le débit de tabac est tenu par Mme Chéreau et les courtiers en vins sont Mr Etiemba (F) et Johais ( J). Mais surtout pour compléter cette petite liste de noms qui ont fait vivre cette ville de Neuillé-le-Lierre, citons les viticulteurs de cette époque: Barbot (A), Barbot (L) et Brossier.

Share Button

Carte Postale Ancienne peinte à la main en 1913 – Le petit jardinier

carte postale ancienne peinte à la main- Le petit jardinier

Carte postale ancienne peinte à la main en 1913 – Le petit jardinier
illustrateur Anna Sicard
Dos séparé – circulé à découvert le 24 aout 1913
§

Voici un petit bol d’air frais et de bonheur avec cette carte postale et ce petit jardinier bien mignon !

Au début du XXe siècle la production de cartes postales est phénoménale et se compte par millions, quasiment tous les thèmes ont été abordés, mais cela n’empêche pas des artistes en herbe à peindre et fabriquer eux-mêmes leurs cartes postales.

Je dis fabriquer car cette carte postale a été découpée dans un carton et même le verso est fait à la main. Ce n’était pas le cas de toutes les cartes peintes à la main, car les éditeurs avaient compris très rapidement que cette mode de peindre les cartes soi-même était très appréciée et devenue populaire. C’est ainsi que l’on pouvait acheter en pochettes une dizaine ou douzaine de cartes pré-imprimées au verso avec les formules habituelles de l’époque accompagnées du nom de la marque du papier ou de l’éditeur des pochettes.

A lire l’histoire des cartes à peindre soi-même :  Je peins mois même mes cartes postales 
Bien sur si vous connaissez l’illustratrice de cette carte postale « Anna Sicard », Merci de me laisser un commentaire.  

Share Button

Carte Photo – 8 Soldats du camp du Ruchard en 1906

Le camp du Ruchard en 1906

Le camp du Ruchard en 1906 – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Carte Photo – 8 Soldats du camp du Ruchard en 1906  Dos séparé – circulé à découvert le 30 juin 1906  §

Nous sommes en 1906 et on est loin de se douter que la Grande guerre de 1914 /1918 va tuer de nombreux de ces soldats qui pour la plupart d’entre eux, font en 1906 leur service militaire. Fini le tirage au sort pour savoir si l’on va faire son service ou pas, des 1905 tous les jeunes gens âgés de 20 ans doivent être examinés par le conseil de révision pour être déclarés aptes, inaptes, dispensés ou sursitaires. La seule bonne nouvelle est que la durée du service militaire actif est réduite de trois à deux ans. Mais revenons au camp du Ruchard, en 1873 un camp et une école sont établis dans la partie nord des landes du Ruchard sur la commune de Villaines. Cette école y restera jusqu’en 1914, année à laquelle le camp deviendra un camp de prisonniers Allemands pour devenir ensuite un lieu de convalescence pour les soldats Belges. Malheureusement pendant la Seconde Guerre mondiale le camp deviendra un camp d’entrainement pour les troupes nazies.

Un petit mot quand même sur la ville qui abritait ce camp Du Ruchard, Vilaines en 1900 est une ville de 1014 habitants, située à 26 kilomètres de Chinon et de 8 kilomètres d’Azay-le-Rideau dans le département de l’Indre-et-Loire. Le maire à cette époque est Monsieur Crosnier (J), à noter qu’il existait à Villaines à cette époque une culture en grand de l’osier et la fabrique de paniers et vannerie de Crosnier-Robineau. Le président de la société coopérative des vanniers était Monsieur Clément.    

Share Button

Beaune – La Paulée en bourgogne ou fin de la Vendange

 

Beaune - La Paulée en bourgogne ou fin de la Vendange

Beaune – La Paulée en bourgogne ou fin de la Vendange – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

 

La Paulée en bourgogne ou fin de la Vendange  –  Beaune 
Ronco, Ainé , éditeur Beaune (Déposé)
dos séparé – circulé à découvert en 1910
§

C’est le jour de La Paulée qui sonne la fin des vendanges, on ramasse les paniers, on range les sécateurs et on se prépare au début des réjouissances.
Le propriétaire vigneron sort quelques bonnes bouteilles de ses réserves pour récompenser ses vendangeurs et vendangeuses et on se prépare à faire un repas mieux qu’à l’ordinaire.
On se remercie on se congratule et on se donne rendez-vous à l’année prochaine…!
Carte postale des célèbres éditeurs et photographes des frères Ronco Aîné Ronco, Pierre Ronco / Ronco Frères /Ronco Joseph et Isidore le début de cette édition débuta dans les années 1900 pour se terminer dans les années 1940.

Share Button

Courtenay – L’origine de la La rue des Ponts

Courtenay-La rue des Ponts - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Courtenay – La rue des Ponts – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

11  – Courtenay (Loiret) – La rue des Ponts
édition Hic – Courtenay 
Dos séparé – non circulé
§

Cette rue est ainsi dénommée à cause des deux-ponts qui sont jetés sur la Cléry.
C’est Madame de Ligny, veuve de Charles Adrien, comte de Ligny décédé le 9 février 1766, qui fit remplacer à ses frais, vers la fin du XVIIIe siècle les deux ponts de bois qui existaient auparavant par les deux ponts de pierre qui y sont encore .
On dit encore aujourd’hui qu’elle les fit extrêmement étroits pour que son carrosse seul put y passer; mais les ponts sont les mêmes aujourd’hui, et les énormes charrettes y passent facilement.

Share Button